[Rapport préliminaire de Laofa synthétisant l'état actuel de ces recherches et de ses réflexions sur le sujet]
- Sommaire a écrit:
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1. Modes de contamination
1.a Modes de contamination naturel
1.b Modes de contaminations par manipulation homines
1.c Conclusion sur la contamination
2. Effet de la Goo sur l’organisme homin
2.a Douleurs
2.b Troubles de la personnalité
2.c Agressivité
2.d Augmentation de la force et de la résistance du corps
2.e Atteintes cutanés
2.f Hallucinations
2.g Toux
3. Pistes de remèdes
3.a Potion de sève purifiée
3.b Herbes des Illuminés
3.c Méditation
3.d Sublimation de la douleur
3.e Magie Goo
3.f Duplication de Graine de vie
3. g Drogues alternatives
4. Maladie et ostracisme
1. Modes de contamination Bien que cela ne change sans doute pas grand chose aux soins à apporter,il est toujours bon de savoir comment la Goo peut contaminer.
1.a Modes de contamination naturel La Goo qui recouvre les champs du Pays Malade est une des causes de contamination, mais étrangement pas la plus virulente.
Tout homin qui s’aventure sur la Goo s’expose à une intoxication pouvant mener jusqu’à la mort ; visiblement les vapeurs sont la cause de la faiblesse qui envahit les corps. Si les dégâts sont rapides, ils sont aussi peu durables. Regagner un endroit plus sain et respirer un air pur quelques instants suffisent à supprimer les effets du poison.
On relève aussi quelques cas de foreurs et de chasseurs qui, à force de marcher dans les sols infectés, ou peut-être à force de se faire régulièrement empoisonner par les vapeurs, ont développé une atteinte plus importante et durable, non régressive. C’est sans doute aussi de cette manière que certains animaux se font contaminer.
Enfin, la consommation de plantes et d’animaux contaminés est un moyen se faire contaminer. On entend aussi parler de l’utilisation de ces plantes ou de certaines parties de animaux pour fabriquer cataplasmes et objets de vie courantes vecteurs de Goo. Cependant ce mode de contamination apparaît comme anecdotique et du fait d’inconscients et d’ignorants : les bêtes et plantes contaminés sont visiblement malsaines et il faut vraiment avoir l’esprit mal tourné pour vouloir s’en servir.
En conclusion, il semblerait que les homins soient rarement contaminés de manière durable par la Goo à l’état naturel.
1.b Modes de contaminations par manipulation homines Le plus grand nombre de victimes touchés par la Goo est souvent la population civile lors de tentatives de déstabilisation d’un pouvoir en place. On l’a vu lors de l’empoisonnement de Thésos et plus récemment avec la Pandémie de la Théocratie. Une manipulation homine est à l’origine de la contamination d’objets ou de lieux utilisés par une grande partie de la population. Les personnes les plus fragiles sont rapidement touchées et le taux de mortalité est très élevé dans un temps relativement court. Identifier le vecteur et supprimer son accès suffit en général à faire reculer le taux de contamination. La Goo utilisé doit sans doute avoir été raffinée pour que son action soit plus rapide et plus forte.
La seconde population à être largement infectée par la Goo est celle des drogués. La Goo se retrouve dans un certain nombre de drogues homines. Les motivations pour absorber ces drogues sont aussi variées que les effets des drogues en question. Drogues de combats, décuplant l’aggressivité et la force un instant ; drogues de désorientation, la Goo révélant souvent des troubles de la personnalité ; drogues hallucinatoires. La provenance de ses drogues vient visiblement d’un groupe d’homin connaissant bien les diverses propriétés de la Goo et les moyens de la travailler. C’est sans doute pour eux un moyen de financer leurs travaux.
Les drogués consommant régulièrement la goo modifiée, son action sur leur organisme est relativement rapide mais rarement létale (en tout cas pas aussi vite que lors des attaques à la goo). Les drogués qui ont réussis leur sevrage mais qui ont été contaminés le seront toute leur vie, les effets de la goo se rappelant régulièrement à eux. Il est à noter aussi que certains des drogués ne développent aucun symptômes de contamination durable, ce qui confirme que le corps homin a une forte résistance à ce poison.
La troisième population à être touchée par le Fléau sont les chercheurs. A force de manipuler la Goo, de la faire passer par divers stades d’expérimentations, la contamination paraît presque obligatoire. Même les plus forts finissent par se faire contaminés. C’est sans doute le mode de contamination le plus impressionnant, car la Goo va se développer lentement et durablement, finissant par entraîner la mort après de terribles douleurs et une folie souvent dévastatrice. D’où l’importance d’éviter les expérimentations et les observations directes autant que possible, de s’appuyer d’abord sur les résultats de recherches de ceux qui ont déjà risqués leur vie, et si possible de confier les nécessaires analyses à ceux déjà touchés par le Fléau.
Enfin, la goo a parfois été utilisé directement comme arme au cours de l’histoire. Dans ce cas la mort des homins touchés était toujours très rapide, de l’ordre de quelques jours au plus.
1.c Conclusion sur la contamination La volonté homine semble contaminer bien plus que la Goo seule et faire bien plus de dégâts. Alors que la faune et la flore se font contaminé directement, les homins semblent résister à l’effet direct de la Goo et avoir une capacité naturelle à purger leur corps de ce poison s’il n’est pas présent en trop grande quantité. Le problème est différent lorsque la Goo a été modifié. On remarque d’ailleurs que c’est souvent par absorption que les gens sont touchés : l’eau pour boire, la nourriture, les drogues qui s’avalent... Pour autant les vapeurs et les contacts cutanés jouent aussi leurs rôles et il ne faut pas les négliger.
La contamination entre homin paraît proche de zéro. Je n’ai pas de cas avéré de goo transmise par le contact avec un malade, même lorsqu’il y a échanges de sécrétions.
2. Effet de la Goo sur l’organisme homin 2.a Douleurs C’est souvent l’effet le plus dur à supporter pour les malades. La goo dans l’organisme occasionne une souffrance qui va en augmentant au fil de la progression de la maladie. Elle semble agir par vague et être plus ou moins forte suivant les moments.
Pour certains malades, elle reste élevée à chaque instant, augmentant progressivement au fil du temps. Chez d’autres, la douleur est parfois réduite à rien avant des crises impressionnantes où le patient se tord de douleur.
2.b Troubles de la personnalité Les sujets sont souvent décrits comme «changeant de comportements par épisode». Eux-même expliquent qu’ils ont parfois l’impression qu’une entité extérieure les contrôlent, ou bien qu’une part d’eux-même qu’ils ignoraient se met à s’exprimer. Ceux qui se sentent «possédés» se mettent souvent à parler de la Goo non plus comme un poison naturel, mais comme une entité animée d’intentions plus ou moins malveillantes à l’égard de l’hominité. Certains développe aussi des troubles de persécutions, persuadés que «des gens» (rarement identifiés) leur en veulent.
Ces sautes d’humeurs peuvent être assez rapides. Certains changent cependant complètement de personnalité, au point que ni leur famille, ni leur amis ne les reconnaissent.
Ces symptômes semblent toucher en particulier ceux qui ont utilisé des drogues à base de Goo et dans une moindre mesure, ceux qui se sont livrés à des expérimentations sur la Goo.
2.c Agressivité C’est l’effet le plus craint par l’entourage des malades. Chacun a en tête l’image de paisibles herbivores transformés en bêtes féroces et agressives et on associe souvent trop rapidement cet effet aux homins. Pourtant, sur l’ensemble des témoignages de malade rassemblé dans le cadre de cette étude, l’agressivité paraît n’être un problème que pour une partie très mineure de la population touchée. Soit la contamination est si rapide que la douleur surpasse l’agressivité et amène la mort rapidement, soit les malades mettent en place des astuces pour ne pas se laisser emporter (méditation et alcoolisme reviennent fréquemment en tête des solutions apportées au problème ; certains consomment aussi des herbes aux vertus apaisantes), soit, enfin, l’agressivité est vu comme un bienfait et exploité (cas des combattants utilisant des drogues). Certains ne semblent même pas ressentir une agressivité anormale.
2.d Augmentation de la force et de la résistance du corps C’est un des effets recherché dans les drogues de combat. Comme chez les animaux, certains homins développent un temps une force phénoménale et une résistance hors du commun aux coups et aux blessures. Cet effet est toujours lié à une agressivité décuplée. Cependant le contrecoup est souvent très lourd, amenant les gens prenant la drogue à en rechercher les effets, encore et encore, jusqu’à ce que la Goo aie raison de leur santé mentale, bien avant la déchéance du corps. De plus l’agressivité est rarement orientable, amenant l’individu à provoquer bien plus de dégât que nécessaire, jusqu’à attaquer ses propres alliés si ceux si se mettent sur son chemin.
2.e Atteintes cutanés Il arrive que les malades développent des plaques et des pustules, semblables à ce qu’on peut voir sur les animaux infectés. Elles sont parfois indolores mais provoquent chez d’autres démangeaisons et douleurs. La chair semble se nécroser et mourir d’elle-même, laissant apparaître les tissus inférieurs à vif.
Ces atteintes ne sont pas une règle, certains ne les développent jamais. La douleur semble lié à cette détérioration du corps. Il est possible que les mêmes dégâts puissent apparaître en interne uniquement, expliquant la douleur chez des sujets qui paraissent sains à l’examen.
2.f Hallucinations Les sujets se plaignent parfois (ou recherche) d’hallucinations visuelles et auditives, plus rarement d’odeurs, de goût ou de contact fantômes. Le délirium dans lequel ils peuvent plonger a plus ou moins de force : certains sont conscients de l’irréalité de ce qu’ils ressentent, d’autres deviennent persuadés de leur réalité, ces derniers développant en général des troubles de la personnalité par la suite. Mais les hallucinations restent rares, fort probablement symptomatiques des drogues à goo.
2.g Toux Dans certains cas, les malades développent une toux qui les prends régulièrement. C’est la pandémie du Pays Malade qui a mis cet effet en évidence. Pour autant, toute personne expectorant n’est pas forcément atteinte par la Goo...
Il est possible que la toux soit lié à une nécrose partielle des poumons.
3. Pistes de remèdes On peut tenter de soigner chacun des symptômes, mais la seule manière de guérir l’organisme serait d’arriver à nettoyer l’organisme de la Goo. Le corps homin semble capable d’éliminer la Goo quand l’atteinte n’est pas trop importante ; peut-être est-il possible de l’aider à mieux éliminer.
Contrairement à la croyance populaire, il existe des «remèdes» à la Goo. Il s’agit en général d’atténuer les symptômes et de prolonger la durée de vie des patients, plus que de guérir réellement. Il y a aussi des légendes d’homins ayant réellement réussi à guérir, retrouvant leur intégrité physique entière. Il convient d’examiner en détail ces éléments.
3.a Potion de sève purifiée La Théocratie fait parvenir régulièrement un remède à Lenja, une zoraï contaminée qui erre dans les Cités de l’Intuition. Le remède marche peu de temps et doit être régulièrement administré. Il semble agir autant sur le corps que sur le mental, apaisant la douleur et la désorientation.
Est-il facile à produire en masse ? S’il s’agit vraiment uniquement de sève purifiée, alors cela devrait être à la portée des homins. Malgré sa faible durée dans le temps, il semble soulager la malade.
Etudier sa fabrication, ses possibles effets secondaires, et la réalité de son efficacité.
3.b Herbes des Illuminés C’est grâce au sage Supplice que les homins ont pris connaissance de ces herbes. Elles semblent atténuer rapidement et grandement la douleur.
Certains disent que ces herbes ne poussent que dans les Anciennes Terres. Si c’est le cas, je propose de relancer la production sur le Bois d’Almati. Mais cela paraît étrange, les Illuminés ne semblent pas du genre à organiser des mois de voyages pour quelques plantes. Il est probable qu’elles poussent dans nos contrées.
3.c Méditation Une vie saine est une des premières conditions pour bien lutter contre la Goo. Est-ce l’influence du mental sur le corps ou sur la Goo elle-même ? Toujours est-il que les malades qui s’en sortent le mieux et traversent le temps sont ceux qui savent apaiser leur âme et atteindre un équilibre mental. La guerre contre la Goo se joue d’abord dans l’esprit. C’est à rapprocher du «remède» suivant, d’ailleurs.
3.d Sublimation de la douleur Bien que cette méthode soit sujette à caution, il convient de noter que l’empirisme l’a fait adopter par certains des malades. Il semblerait que l’auto-mutilation leur donne la force de combattre la Goo dans leur corps. C’est sans doute, là encore, plus un effet lié à un état d’esprit particulier qui va soutenir le corps dans sa lutte contre la maladie, qu’une réelle solution. Certains se mutilent dans l’espoir d’enlever les morceaux d’eux-même contaminés, d’autres en obéissant aux «voix» qu’ils entendent, d’autres enfin l’envisagent comme un sacrifice montrant leur détermination. Cette pratique ne doit pas être encouragée, il convient de montrer aux malades que la méditation peut leur apporter autant de soutien avec bien moins de souffrances. Il est fort improbable que la mutilation volontaire suffise seule à guérir de la Goo.
3.e Magie Goo C’est visiblement ce qu’a utilisé Marung sur Amatsu.
- Citation :
- Et parmi nous se trouvais Amatsu, un membre de la Garde des Dragons Noirs. Aveugle. Et empoisonné lui aussi par la goo. Nous avons alors demandé comme preuve de sa bonne foi de soigner Amatsu. Marung accepta difficilement. Il n'avait pas encore tout les fragments et pourtant il fit un miracle. Un acte digne des plus grands Kamis. Il fit boire un breuvage à Amatsu, puis fit quelques gestes, se concentra et des particules de Sèves s'échappèrent de l'écorce. Nous étions sidérés. La sève vint s'aglutiner dans sa main, et il la plaqua sur le visage d'Amatsu. Les blessures de goo d'Amatsu disparurent sous nos yeux ébahis et incrédules. Marung avait le pouvoir !
http://grainesdekami.free.fr/forum/viewtopic.php?f=1&t=774 La nature du breuvage serait intéressante à retrouver, mais visiblement Marung savait utiliser la Goo au lieu de la sève pour sa magie. Un homin m’a raconté que la Goo avait été «aspirée» du corps d’Amatsu. Cependant, Amatsu a-t-il été totalement guéri, ou seuls les symptômes ont-ils été soignés ? Actuellement, je n’ai pas retrouvé sa piste.
Comme il a été remarqué, Marung a lui-même finit emporté par la Goo. Sa femme aussi était contaminé, mais était-ce antérieur à sa mort ? Son frère, lui, a réellement souffert de la Goo après sa mort. Il est possible que l’usage de cette magie l’ait contaminé et qu’il soit impossible de se soigner soi-même (après tout, il en est de même quand on utilise la Sève en magie).
Attention, la magie utilisant la Goo est prohibée par la Théocratie et met les Kamis en colère. Devenir un mage noir n’est sans doute pas la solution pour soigner la Goo. Mais la piste doit être suivie, elle permettra sans doute de comprendre comme Goo et Sève sont liés et peut-être d’envisager une solution sur le même principe... mais plus respectueuse des homins et d’Atys.
Actuellement, les références aux Mages Noirs sont très complexes à trouver, donc leur étude l’est encore plus. J’ai identifiés deux groupes seulement qui pourraient en savoir plus sur le sujet : la Compagnie de l’Arbre Eternel et le Cercle Noir.
Peut-être que les Trytonistes et la Confrérie du Grand dragon ont des informations pertinentes dans leurs archives, aussi.
Enfin les Maraudeurs des Anciennes Terres semblent aussi connaître et utiliser la magie noire.
3.f Duplication de Graine de vie Natara a évoqué la possibilité de dupliquer les Graines de vie, un pouvoir que les kamis posséderaient mais qu’ils accorderaient difficilement. Je ne crois pas qu’on puisse envisager cette solution pour soigner de grands groupes de population. Il faudra tout de même chercher à en savoir plus.
3. g Drogues alternatives Certaines substances plus ou moins douteuses peuvent avoir des effets intéressant sur certains symptômes. Ainsi les divers mélanges «qui font planer» apportent calme et sérénité à ceux souffrant des problèmes d’agressivité et de troubles de la personnalité, leur permettant parfois d’atteindre l’état méditatif alors que les crises les en empêchent. L’alcool n’est pas vraiment une solution, puisqu’il libère les inhibitions et par-là accentue parfois l’effet de la Goo, mais certains malades se réfugient dans le réconfort provisoire qu’il apporte.
Tout ce qui peut atténuer la douleur est testé : racines à mâcher, potions diverses aux effets incertains...
Le grand risque est que les malades se créent de nouveaux problèmes en consommant tout et n’importe quoi, dans le seul but d’échapper à leur destinée.
4. Maladie et ostracisme En conclusion de ce rapport préliminaire, il faut soulever un point qui mérite toute notre attention de chercheur. Les gens contaminés par la Goo sont souvent seuls. Le tabou qui frappe la substance a des impacts considérables sur la vie des malades. Beaucoup préfèrent garder leur infection secrète, de peur d’être rejetés par leurs semblables, et à raison. Même lorsque la tolérance et la bienveillance sont présentes, le regard que porte les «sains» sur quelqu’un qu’ils savent malade change, entre peur et inquiétude, et cette état de veille permanente est très lourde à supporter pour les malades.
La consommation de drogues à base de Goo est assez répandue parmi les plus jeunes, souvent inconscient de ce qu’ils prennent. La plupart du temps, cela n’a pas d’impact (ils ne deviennent pas contaminés) et lorsqu’ils se rendent compte du danger de leurs pratique, ils cessent. Cependant, là encore, le silence menace des vies, les malades étant pris en charge bien trop tard, les dealers ne pouvant être appréhendé, et la prévention étant quasiment nulle.
Nous ne changerons pas le regard de la majorité sur ceux atteints pas la Goo. Mais nous avons une lourde responsabilité quand les malades se confient à nous. Nous devons respecter leur secret à tout prix, même entre collègues. Si un malade souhaite annoncer publiquement le mal qui le ronge, cela doit être entièrement de son propre choix. Si nous mettons en place un remède efficace, il faudra qu’il soit accessible anonymement et gratuitement, afin, encore une fois, d’éviter d’en rajouter aux épreuves que les malades traversent. C’est à cette seule condition que nous pourrons réellement aider les malades.
Lorsque nos recherches auront plus avancé, il faudra aussi mettre en place une véritable campagne de prévention, pour expliquer ce qu’est la maladie et les véritables risques. Peut-être que cela influencera l’opinion publique : cependant, si cela évitait que certains se fassent contaminer de manière bête, ce serait déjà un plus. Et qu’ils sachent que des solutions existent, ce sera aussi nécessaire.[url=
http://grainesdekami.free.fr/forum/viewtopic.php?f=1&t=774] http://grainesdekami.free.fr/forum/viewtopic.php?f=1&t=774[/url]
Sujet: Goo : Guérir les homins 
Dim 13 Mai - 9:03
mais c'est le genre d'article que je verrais bien dans encyclopatis.
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